Professeur Snape [FINI]


Présentation de: Snape Severus
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]	Originaire de : Impasse du Tisseur Date de naissance: 9 janvier 1960 Âge: 35 ans Emploi/Études: Professeur de Potion Severus Snape crédit icons - Creatic Où avez vous découvert le forum? Sur un Top Site Qu'en pensez-vous? Pas mal du tout. & toutes autres information:habitude de jouer ce personnage Severus Snape a toujours été mince, même presque maigre enfant et adolescent. Il est assez grand. Ses cheveux sont à la hauteur de ses épaules, noirs, raides et d'apparence grasse. Il a les yeux couleurs d'encre, ce qui lui donne selon certains un air ténébreux. De fait, il se vêt toujours de cette teinte. Il a le visage carré, un nez que l'on qualifie aisément de crochu et les lèvres fines. Il ne porte aucun bijoux et le seul tatouge qu'il aborde se trouve sur son avant-bras gauche: une tête de mort dont un serpent sort de sa bouche, la Marque des Ténèbres. Severus Snape, en cours ou plus simplement à Hogwarts est vêtu d'un pantalon noir et d'une chemise blanche, le tout surmonté de sa robe/tablier de Maître des Potions, sans oublier ses amples capes de la même teinte, lui donnant ainsi l'air d'une chauve-souris géante. Mais lorsqu'il est seul chez lui, Severus est plus décontracté. Un pantalon noir, un chemise blanche et à l'occasion un peu de vert vient égayer cette sobriété. Voilà pour ce qui est de son apparence. Ajoutons toutefois que Severus snape aborde très souvent un visage impassible, il est donc impossible pour autrui de savoir ce qu'il pense, même en étant un très bon legilimens.
▪ Froid ▪ Impassible ▪ Sarcastique ▪ Courageux ▪ Intelligent ▪ Rusé
Je suis né par un beau matin de janvier. D’après ma mère il faisait froid ce jour là, mais ensoleillé. Ma mère se nommait Eileen Prince. C’était une sorcière, évidemment et elle fut Capitaine de l’équipe des Bavboules. A sa sortie de Hogwarts, elle se maria avec celui qui allait devenir mon père, Tobias Snape, moldu. Nous vivions à l’Impasse du Tisseur dans une petite ville industrielle. Enfant, je jouais souvent seul jusqu’à ce que je remarque que deux petites filles vivaient près de chez moi. Je les espionnai souvent sans me faire voir et un jour alors que je les suivais discrètement du haut d’un mur, je perdis l’équilibre et tombai du mur haut de plusieurs mètres. Je n’eu pas le temps de crier que déjà je touchai le sol, mais soudain je devins aussi léger qu’une plume et ma chute s’arrêta à quelques centimètre du sol. Dès que j’eu les deux pieds sur terre, je couru chez moi pour expliquer mon aventure à mes parents. Ma mère fut heureuse que je sois sorcier, mon père le fut moins, mais je n’y pris pas garde. Je continuai à grandir, espionnant mes voisines. Un jour pourtant, elles me remarquèrent. Je sortis du buisson où je me cachai et m’approchai de la plus jolie, la rousse aux yeux verts dont je savais que le nom était Lily. - Je sais ce que tu es, lui dis-je - Qu'est-ce que tu veux dire ? - Tu es... Tu es une sorcière. - Ce n'est pas très gentil de dire ça aux gens ! S’exclama-t-elle d’un air fâché. Aussitôt je me repris et lui expliquai ce que je voulais dire par « sorcière ». elle me sourit, nous devinrent ainsi amis. Mais je sentais que sa sœur était jalouse de notre complicité et lorsque Lily et moi reçûmes notre lettre de Hogwarts, Pétunia écrivit au directeur pour lui demander de bien vouloir l’accepter au Collège ! Lily et moi avons découvert la lettre plus tard… À 11 ans, je suis donc entré au Collège où le choixpeau m’a réparti sans aucune hésitation dans la Maison des Serpents. J’y ai rencontré ceux qui comme moi, allaient devenir Mangemorts. J’y ai également rencontré pour mon plus grand malheur ce crétin fini de Gryffon, Potter – toujours accompagné de Black, Lupin et Pettigrew – toujours à se pavaner dans le Château… Oh stupide Potter arrogant qui tentait tant bien que mal d’attirer l’attention de ma Lily. A serpentard, je suis devenu ami avec un élève plus agé, Lucius Malfoy, qui m’a introduit, lors de ma 6e année dans le cercle des ceux qu’on appelait déjà Mangemorts. À 17 ans, je reçu la marque, à 20, je trahis ma meilleure amie et causai son meurtre. Et à présent je protège son crétin de fils. [...] Il est tard, très tard. Il ne doit pas être loin de deux heure trente du matin mais je dois encore tenir éveillé pendant de longues heures. C'est cette nuit qu'enfin j'aurai ma Marque, qu'enfin je ferai partie des grands, de ceux qu'on respecte, de ceux dont on a peur. J'ai 17 ans depuis quelques mois, j'ai fini l'école depuis quelques semaines et cette nuit, je ferai réellement partie des mangemorts. Je usi pour l'instant seul dans une pièce vide et peu éclairée mais je pense que je me trouve au Manoir malfoy, là où vit Lucius, ce cher lucius. C'est lui qui m'a introduit dans ce monde fermé, c'est lui qui m'a ouvert les yeux sur notre monde, les moldus, les sang-de-bourbe. Il m'a dit que le Seigneur Noir me pardonnerais d'être sang-mêlé, si seulement je rejoignais ses rangs. Et c'est ce que je m'apprête à faire enfin cette nuit. Je regarde autour de moi, une boule de lumière éclaire légèrement la pièce vide. Je tiens difficilement sur mes jambes mais je ne peux montrer un seul signe de faiblesse sous peine d'être violemment puni. J'ai déjà reçu plusieurs Doloris ce soir, et je ne veux pas leur donner ne fut-ce qu'un prétexte pour m'en donner d'autres. je reste donc debout, tombant presque de fatigue mais tenant bon pour mes valeurs, pour ce en quoi je crois. Soudain, alors que mes yeux commencent à se fermer, la porte jusqu'alors verouillée s'ouvre sur mon ami. Son visage est froid, ses yeux impassibles. Il me fait signe de le suivre sans un mot. Je resserre ma cape autour de moi car il fait assez glacial dans le Manoir, bien plus qu'à l'extérieur. Ce faisant je me prend un regard désapprobateur de mon vis-à-vis et il me dit d'une voix coupante que je ne dois montrer aucun signe de faiblesse et que je viens d'en montrer un. Je sais qu'il est inutil et malvenue que je tentez de me justifier alors je ravale ma réponse acerbe et continue à le suivre en silence, tête haute. Bientôt nous arrivons tous deux devant deux grandes portes en bois noir. Lucius se tourne vers moi et m'explique dans un murmure très rapide et - je le sens - assez anxieux. - Bien, Severus. Dans cette pièce se trouve notre Seigneur et Maître. Une fois qu'il t'appelera, tu entrera seul. je reste dehors. Une fois dedans, ne mens pas, il le sais toujours. Ne ferme pas ton esprit. Réponds lorsqu'il te pose une question mais s'il ne t'invite pas à parler, ne dis rien. Sois respectueux et agis comme il le souhaite. Bonne chance. Aussitôt la porte s'ouvre et Lord Voldemort prononce mon nom à voix basse. J'entre sans un regard pour Lucius et les battants se referment derrière moi. Devant moi, assis dans un grand siège se trouve le Seigneur des Ténèbres. Il me dit d'approcher, ce que je fais à pas lents. - Severus... Ce cher Lucius m'a dit que tu souhaitais nous rejoindre... Pourquoi? - Maître, mon seul but est de vous servir. Et... -Continue. -J'aimerais être un témoin direct des grandes choses que vous allez réaliser, j'aimerais y participer! -Je vois que tu ne ments pas... Bien. Lord Voldemort sait toujours lorsqu'on lui ment... -Oui, Maître. -Ne parle pas si je ne t'y autorise pas! Endoloris! je hurle sous la violence du sort mais la douleur s'interrompt très rapidement. je me relève aussitôt, un air humble sur le visage. Mon Seigneur éclate de rire et me murmur qu'il m'accepte dans ces rangs. Il me demande ensuite de lui tendre mon bras gauche, ce que je fait sans un mot. Je vais enfin avoir ma marque. Soudain, il lance une incantation d'une voix forte et une flamme sort de sa baguette pour ensuite entourer mon bras. la sensation de brûlure est pire que tout mais je me force à serrer les dents, à ne pas crier. Je dois être fort. Après quelques minutes de douleur intense, tout cesse. Je regarde mon bras, la marque est là, gravée à jamais dans ma chair. Le Lord me congédie d'un geste, n'ayant plus l'air concerné. Je tombe à genoux devant lui et le remercie de ce don. A nouveau il sourit. Après un dernier remerciement je sors retrouver Lucius qui a l'air relativement soulagé de me voir. Il est vrai que certains ne ressortent jamais de cette pièce. Du moins, pas vivants.